ENTREPRISE

4 leçons du sport pour réussir son side project et en faire un vrai business

12/9/2025

Introduction

Pendant 14 ans, j’ai travaillé dans la banque.

Un emploi stable, un salaire qui tombe chaque mois, 20 jours de RTT, un package RH complet.

Vu de l’extérieur : confort parfait.
Vu de l’intérieur : une lente stagnation.

Le sport a été mon cadre.
Le projet parallèle, mon terrain bis.

L’un m’a appris la discipline.
L’autre m’a donné l’air.

Aujourd’hui, ce parallèle est devenu mon activité principale et ma source de revenus.

Voici 4 leçons tirées du sport pour transformer une idée en activité durable.

1. Vendre avant d’optimiser

Un business ne naît pas d’un statut juridique.
Il commence par une vente.

Beaucoup s’occupent d’abord de formalités : comparer les fiscalités, choisir une structure, remplir des tableurs.
Tout ça rassure.
Mais sans encaissement, ça reste du vent.

La première fois que j’ai présenté mon activité, j’étais tétanisé.
Un pitch expédié en moins d’une minute, devant 8 personnes.
Un mur d’offres et de demandes affiché derrière.
J’avais juste envie de rentrer chez moi.

C’est ça, la vente :

Pas joli. Pas fluide.
Mais c’est le seul chemin.

La vente est le test.
La seule preuve qu’une offre répond à un besoin réel.

Un premier chiffre d’affaires, même modeste, vaut plus qu’un statut flambant neuf.

2. L’énergie comme premier capital

Le vrai danger n’est pas le travail.
C’est la fatigue invisible.

Trois signaux apparaissent vite :

Le sport m’a appris une règle simple :
enchaîner sans récupération = blessure assurée.

Un projet parallèle, c’est pareil.
Il ne se construit pas avec des miettes de bande passante.

Sans énergie, pas de régularité.
Sans régularité, pas de projet durable.

3. Régularité > Intensité

Un soir, après une défaite, j’ai voulu compenser : sprints, tirs, muscu.
Résultat : fatigue, baisse de lucidité, match raté.

À ce moment-là, je n’étais plus en train de progresser.
J’étais en train de m’épuiser.

L’intensité impressionne. Mais seule la régularité construit.

C’est ce réflexe qui m’a permis de tenir mon activité parallèle :

Mieux vaut une régularité réaliste qu’un sprint voué à l’épuisement.

4. Un diplôme n’est pas une fin.

Quand j’ai passé mon DEJEPS Basket, je voulais coacher une équipe jeune.
Aujourd’hui, je suis formateur, coordinateur, et indépendant.

Un diplôme n’est pas une case. C’est un tremplin.

Ces diplômes créent des compétences transférables.
Ils ouvrent, ils ne ferment pas.

Conclusion

Le sport m’a donné la discipline.
Le projet parallèle m’a donné la respiration.

L’un sans l’autre, je serais resté bloqué dans l’inaction.

👉 Vendre avant d’optimiser
👉 Préserver ses ressources
👉 Miser sur la régularité
👉 Utiliser les diplômes comme leviers

C’est ce cadre qui m’a permis de transformer un side project en activité principale.
Et d’en faire une vraie source de revenus.

Passer de l’idée au revenu concret

Un projet parallèle n’a pas besoin de rester une parenthèse.
Il peut devenir une source de revenus concrets, même avec un job stable.

C’est exactement ce que je transmets dans Le 6e Homme – Side project :
Une méthode simple, adaptée au rythme sportif et pro,
pour transformer une idée en résultats tangibles.

👉 Lancer le projet dès maintenant

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